Depuis que j'ai découvert le "Tagada-cake" de
Bien sûr je me suis précipitée sur la chose, je me suis même entendue dire à la caissière, les enfants vont adorer, et en plus comme ils sont malades ça va faire passer le goût des médicaments (lamentable, je sais, même pas capable d'avouer cette addiction, somme toute assez bénigne (quoi que !!!).

J'ai, de plus une idée pour utiliser cette merveille (qui a en plus de la couleur le vrai petit goût chimique du bonbon éponyme), de la confiture de fraises-fraises tagada, j'ai 2 pots de confiture de fraises ratés (trop liquide), qui vont repassés à la casserole avec ce sirop et des petites copines....
Mais ça je vous le raconte demain....

A la tienne Sandrine !!!!

Il y a longtemps que je n'avais pas lancé un petit jeu, alors voici qui est fait...

Facile....

J'ai résisté jusquà hier soir et puis fini par craquer ce matin, et j'ai voulu remettre le chauffage (juste une heure le matin, la sortie de douche devenait trop difficile !!!) Je sais c'est encore l'été, mais 8 ° le matin, et 12 dans la salle de bain, j'ai honte mais j'ai du mal... Je ne suis qu'une pauvre petite chose frileuse...

Et bien la chaudière, elle n'a pas voulu, rien queudalle, niet, pas question d'en tirer quoi que ce soit, et le plombier qui est chargé de l'entretien, un vendredi, faut pas rêver....
Donc  encore un weekend de sortie douche en claquant des dents et je vais dormir avec des chaussettes cette nuit.
Je crois que je vais me consoler en me faisant un chocolat chaud...

Vu les plaintes, je me dois d'expliquer mon silence.... Je suis rentrée de Pornic, dimanche en fin de journée, je vous épargne la photo de la corbeille de linge sale, celle de celui à repasser, la rentrée hier, et la perte de 15°, et vous le dis, 2 mois de vacances c'est trop court.... Je n'ai rien vu passé, et j'en reprendrai bien encore un peu.... Donc ce soir au menu, steaks hachés, frites au four, haricots verts (du jardin de ma maman) et fruits. Pour les petits plats on va attendre la semaine prochaine, que la maison ressemble à autre chose qu'une grosse valise en cours de vidage (euh ça se dit vidage??? Il faut que je demande à la maîtresse des enfants).
Mais pour me faire pardonner deux petites photos en souvenir de 15 jours de soleil, baignades et glaces de la"Fraiseraie" (celles qui connaissent Pornic sauront de quoi je parle!!!!)...

Sur la plage abandonnée....

Un petit clin d'oeil des loulous qui vous souhaitent une bonne rentrée...

Peu de messages cette semaine, car mes amis Barbara et Brian (ceux du Restaurant M. Robert) ont eu un souci au restaurant et je suis allée les aider midi et soir, et ceci va encore durer cette semaine...
Donc le peu de temps libre que j'ai, je le passe avec mes loulous ou à dormir... C'est un boulot de dingue !!!!

Mais puisque aujourd'hui c'est relâche, j'en profite pour partager les perles que j'ai relevé cette semaine. Mais je sais que des gourmand (es) comme vous ne faites ou dites jamais des trucs pareils, mais que vous avez dû être agacés parfois par des clients pareils....

Donc Barbara cette semaine, aide Brian en cuisine, et je suis "front dor" comme disent les anglais. Et ça peut être terrifiant la bêtise du client parfois, et désarmant aussi, et voici donc un florilège :

En entrant dans les lieux on ne demande pas, à midi ou vers 20h "On peut manger ?", dans un restaurant ça paraît évident, à la limite on demande si il reste de la place...

On ne dit pas au moment de passer commande : "Est ce que je peux avoir les boulettes de saumon, mais sans le saumon...", si, si véridique, de même (je parle ici d'un petit restaurant gastronomique, où tout est fait maison et surtout tout est frais) on ne demande pas Un filet de bar au lait de coco et épices thaî, sans le lait  de coco et les épices, on choisit autre chose....

On ne demande pas "C'est bon ?", vous imaginez quoi qu'on va vous répondre "Non c'est dégueulasse!!!"
Idem qu'est que je dis moi quand on me demande "Choisissez pour moi", je ne connais ni les goûts ni les envies des gens...

On laisse un peu de place pour poser les assiettes (souvent très chaudes), on n'ignore pas la pauvre fille qui se brûle les doigts, en étalant ses coudes, en enlevant pas sa serviette, etc... La pauvre fille (moi en l'occurrence, n'a qu'une envie c'est lâcher l'assiette sur les genoux du ou de la mufle).

On ne dit pas "Vous avez des toilettes ?" Je meurs d'envie de répondre "Oui, c'est une ville médiévale, mais tout de même on est passé au confort moderne".

On éteint son portable (ou on le met sur vibreur) et on sort pour téléphoner, on ne hurle pas. C'est dérangeant pour tout le monde, les autres clients et les gens qui bossent.

De même on ne choisit pas le restaurant comme lieu pour une scène de ménage....

On ne reste pas jusqu'à minuit, quand on a fini de manger depuis plus d'une heure, que les autres clients sont également partis depuis plus d'une heure, on pense qu'il y a ici des êtres humains qui ont une vie ailleurs, qui sont debout depuis 7h du matin, et qui n'en peuvent plus de fatigue...

Enfin bref, comme vous le voyez c'est un vrai métier, il faut de la patience, de la psychologie, une certaine fermeté aussi, tout en souriant tout le temps (sans être obséquieux), et c'est crevant.... Mais il y a aussi des clients (et c'est la majorité heureusement) qui sont adorables, qui savent apprécier la bonne cuisine, et qui sont curieux de goûter de nouvelles saveurs..

Encore une semaine et je me remets à la cuisine et à mon blog.